UE 2.3.S2 – Santé, maladie, handicap, accidents de la vie
Université Paris-Saclay (75)
Juin 2022

Sujet

Question n° 1 – Parmi les propositions suivantes concernant la loi du 11 février 2005 sur le handicap en France, indiquez celle qui vous semble exacte (1 réponse exacte) :

A. La loi définit les degrés de handicap
B. La loi définit les catégories de handicap
C. La loi définit le polyhandicap
D. La loi s’intéresse aux personnes atteintes de handicap durable
E. La loi s’intéresse aux personnes atteintes de handicap définitif

 

Question n°2 – Parmi les propositions suivantes concernant la loi du 11 février 2005 sur le handicap en France, indiquez celles qui vous semblent exactes (2 réponses exactes) :

A. La loi a pour but de faciliter l’emploi des travailleurs handicapés
B. La loi définit l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés dans les entreprises
C. La loi définit une grille salariale chez les travailleurs handicapés
D. L’allocation adulte handicapé ne peut pas être cumulée avec un salaire chez un travailleur handicapé
E. La loi concerne uniquement les adultes handicapés

 

Question n°3 – Parmi les propositions suivantes, citez les 3 propositions exactes concernant les patients porteurs de handicap psychique :

A. La communication verbale est souvent difficile
B. La communication est facilitée par la lecture des consignes par le patient
C. Les troubles du comportement sont fréquents
D. Les troubles du comportement sont majorés par les traitements psychiatriques
E. La communication est souvent préservée avec les membres de la famille

 

Question n°4 – Parmi les propositions suivantes concernant la reconnaissance de l’invalidité en situation de handicap en France, indiquez celles qui vous semblent exactes (3 réponses exactes) :

A. Elle peut concerner soit une maladie, soit un accident
B. Elle est possible en cas d’incapacité totale de travail
C. Elle est possible en cas d’incapacité partielle de travail
D. Elle est soumise à des conditions d’âge
E. Elle concerne l’aidant d’une personne en situation de handicap

 

Question n°5 – Parmi les propositions suivantes, indiquez celles qui vous semblent exactes concernant l’allocation adulte handicapé (AAH). (3 réponses exactes) :

A. Son montant mensuel est presque équivalent au SMIC
B. Son montant mensuel est d’environ 900€ en 2022
C. Elle peut être attribuée à une personne d’origine étrangère vivant sur le territoire français
D. Elle est accordée pour une durée illimitée si le handicap est majeur
E. Son attribution dépend de l’âge de la personne handicapée

 

Question n°6 – Indiquez, parmi les propositions suivantes concernant la prestation de compensation du handicap (PCH), celles qui vous semblent exactes (3 réponses exactes) :

A. Elle permet de financer une aide à domicile
B. Elle permet de financer l’aménagement d’un logement
C. Elle permet de financer un fauteuil roulant
D. Elle remplace l’AAH
E. Elle sert de mutuelle complémentaire à l’ALD

 

Question n°7 – Parmi les propositions suivantes concernant la définition des maladies chroniques selon l’OMS, indiquez celles qui vous semblent exactes (3 réponses exactes)

A. Leur durée potentielle durant plusieurs semaines à plusieurs mois
B. Leur évolution possible vers un déficit sensoriel
C. Leur évolution possible vers un déficit mental
D. Leur évolution possible vers un déficit moteur
E. Leur impact sur la fertilité

 

Question n°8 – Parmi les propositions suivantes, indiquez celles qui vous semblent exactes concernant les maladies chroniques en France ? (3 réponses exactes) :

A. Grâce à la prévention, le nombre de patients atteints de maladies chroniques diminue en France
B. Le cancer est considéré comme une maladie chronique
C. L’asthme est la plus fréquente des maladies chroniques respiratoires
D. La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des maladies chroniques neurologiques
E. Le médecin spécialiste est le médecin référent pour la prise en charge des maladies chroniques

 

Question n°9 – Parmi les propositions suivantes, citez celles qui caractérisent le parcours de soins personnalisé au cours d’une maladie chronique (3 réponses exactes) :

A. Définition des consultations prises en charge par l’assurance maladie dans le suivi
B. Définition des soins infirmiers pris en charge par l’assurance maladie dans le suivi
C. Définition des examens pris en charge par l’assurance maladie dans le suivi
D. Définition du niveau de remboursement des médicaments
E. Définition des modes de transport remboursés pour le suivi

 

Question n°10 – Parmi les propositions suivantes, citez celles qui vous semblent exactes concernant la prise en charge financière de la maladie chronique en France (2 réponses exactes) :

A. Toute maladie chronique relève d’une prise en charge à 100% par l’assurance maladie
B. La prise en charge à 100% dépend de la durée de la maladie
C. La prise en charge à 100% dépend de la gravité de la maladie
D. Les malades ayant une prise en charge à 100% pour une maladie chronique ont accès à la gratuité de tous leurs soins et tous leurs médicaments
E. Les maladies chroniques prises en charge à 100% sont définies dans une liste des « ALD »

 

Question n°11 – Les objectifs de l’OMS pour une meilleure prise en charge des maladies chroniques comportent (3 réponses exactes) :

A. Une approche pluridisciplinaire
B. Une prise en charge hospitalière
C. Des soins axés sur le patient
D. Le soutien des associations de patients
E. La gratuité pour les médicaments

 

Question n°12 – L’éducation thérapeutique pour les patients atteints de maladies chroniques consiste en (3 réponses exactes) :

A. Un ensemble de pratiques pour permettre au patient d’acquérir des compétences
B. Un ensemble de pratiques pour permettre au patient d’acquérir des connaissances
C. Un processus d’apprentissage centré sur le patient
D. Un processus d’apprentissage centré sur la maladie
E. Une évaluation finale pour mesurer les acquis du patient et sa compréhension

 

Question n°13 – Parmi les propositions suivantes, indiquez celles qui vous semblent indiquées pour l’annonce d’une maladie grave chez une personne hospitalisée (2 réponses exactes) :

A. L’annonce préalable du diagnostic à la famille du patient, pour préparer le patient
B. L’annonce préalable du diagnostic à un proche désigné par le patient, pour mieux l’accompagner ensuite
C. L’annonce du diagnostic en présence d’un proche désigné par le patient, pour mieux l’accompagner ensuite
D. L’annonce du diagnostic en présence d’un psychologue, pour mieux l’accompagner ensuite
E. L’annonce du diagnostic en présence du personnel infirmier en charge du patient, pour mieux l’accompagner ensuite

 

Question n°14 – Parmi les propositions suivantes concernant les métiers de la rééducation, indiquez celles qui vous semblent exactes (3 réponses exactes) :

A. L’ergothérapeute réalise des outils techniques pour limiter le handicap
B. L’objectif principal du psychomotricien est d’adapter l’environnement de la personne handicapée dans son milieu familial
C. Une mission de l’orthophoniste est d’évaluer les troubles de la déglutition
D. Une mission de l’orthophoniste est de corriger les troubles de la déglutition
E. Une mission de l’orthoptiste est de rééduquer les troubles auditifs

 

Question n°15 – Indiquez quel est le professionnel de santé le plus adapté à la rééducation d’un déficit auditif :

A. L’orthoptiste
B. Le psychologue
C. L’orthophoniste
D. L’ergothérapeute
E. Le masseur kinésithérapeute

 

Question n°16 – Parmi les propositions suivantes concernant la rééducation musculo- squelettique des patients en situation de handicap, indiquez celles qui vous semblent exactes (2 réponses exactes) :

A. La rééducation n’est pas indiquée chez les patients ayant des troubles cognitifs
B. La rééducation n’est pas indiquée chez les patients porteurs d’un déficit moteur définitif
C. La rééducation n’est pas indiquée dans la gestion des enfants polyhandicapés
D. La rééducation peut être bénéfique dans la gestion des douleurs aigues
E. La mobilisation des patients est un acte infirmier indispensable s’intégrant dans la rééducation

 

Question n°17 – Concernant la douleur chronique, citez les 3 propositions exactes :

A. C’est une maladie à part entière
B. Elle est plus difficile à traiter que la douleur aigue
C. Elle génère de l’anxiété
D. Elle nécessite une prise en charge psychologique
E. Elle justifie le plus souvent un traitement par morphine

 

Question n°18Concernant l’évaluation de la douleur par les infirmier(e)s, citer les réponses exactes (3 réponses exactes) :

A. La douleur n’est pas évaluable chez le jeune enfant (de moins de 6 ans)
B. L’échelle visuelle analogique (EVA) est utilisable chez les enfants à partir de 6 ans
C. L’EVA nécessite de disposer d’une règle pour que la personne mobilise le curseur au niveau de sa douleur
D. L’EVA permet une mesure objective de la douleur par le patient
E. L’EVA est un indicateur d’évaluation du dossier de soins du patient

 

Question n°19 – Parmi les situations suivantes, certaines sont fréquemment associées à des douleurs d’intensité forte chez l’adulte. Citez les 2 propositions exactes :

A. L’hypotonie
B. L’hypertonie
C. L’immobilité
D. Les vomissements
E. La constipation

 

Question n°20 – La réalisation des soins chez un patient douloureux nécessite de respecter certaines règles. Citez les 2 propositions exactes par les suivantes :

A. Espacer les soins pour laisser le patient se détendre
B. Regrouper les soins
C. Effectuer les soins le plus rapidement possible
D. Inciter le patient à une mobilisation active tout au long du geste
E. Réaliser une mobilisation passive du patient

 

Cas concret 1

A. est atteinte de polyhandicap. Jusqu’à 6 mois, rien ne laissait présager de la suite, puis elle a fait plusieurs crises d’épilepsie. Les parents constataient peu à peu un retard de développement voire une régression : « A. ne se retournait plus lorsqu’on l’appelait, elle ne marchait toujours pas à 16 mois, elle n’arrivait plus à saisir un jouet, c’était comme si elle vivait dans une bulle. Longtemps fuyant, son regard est intense désormais … ». Elle avait 2 ans quand le diagnostic de maladie génétique provoquant une altération du système nerveux central a été porté, c’est un syndrome de Rett. Son espérance de vie est limitée.

 

Question n° 21 – Repérez les réactions possibles, relatives aux étapes du deuil, des parents à l’annonce de la maladie d’A. (3 réponses exactes) :

A. Le déni
B. La colère
C. La dérision
D. L’euphorie
E. La sidération

 

A. a maintenant 11 ans, elle ne parle pas, ne marche pas, n’utilise pas ses mains et elle se déplace en fauteuil roulant poussé par un adulte. Elle présente une scoliose prononcée. Depuis peu, elle a des troubles de la déglutition et elle a dû subir une gastrostomie.

 

Question n°22 – Identifiez les caractéristiques qui définissent le polyhandicap chez A. (3 réponses exactes) :

A. Elle a une espérance de vie limitée
B. Elle présente à la fois une déficience motrice, une déficience cognitive et une déficience perceptive
C. Elle nécessite une assistance permanente
D. Elle présente une atteinte cérébrale
E. Elle reste indifférente en toutes circonstances

 

Question n°23 – Retrouvez les problèmes de santé d’A. dans sa situation actuelle (1 réponse exacte) :

A. Altération de la mobilité, risque de chute, risque de dénutrition
B. Altération de la mobilité, atteintes des capacités cognitives, douleur
C. Altération de la communication, anxiété, risque d’agressivité
D. Altération des capacités cognitives, altération de la mobilité, risque de dénutrition
E. Risque de douleur, risque d’escarres, risque de chute

 

Question n°24 – Indiquez les professionnels non médicaux indispensables à la rééducation d’A. (1 réponse exacte) :

A. Le kinésithérapeute, le podologue, l’infirmier, l’orthophoniste
B. Le kinésithérapeute, le psychologue, l’infirmier, le psychomotricien
C. Le diététicien, l’infirmier, l’ergothérapeute, le kinésithérapeute
D. L’ergothérapeute, le psychomotricien, l’orthophoniste, le kinésithérapeute
E. L’infirmier, l’aide-soignante, le médecin traitant, les parents

 

Question n°25 – Relevez les structures ressources pour aider A. et sa famille au quotidien (2 réponses exactes) :

A. La CPAM
B. La MDPH
C. L’ALD
D. L’Association Française des enfants myopathes
E. Les Associations des Aidants Naturels

 

Cas concret 2

Vous êtes étudiant infirmier en hôpital de jour de rhumatologie. Accompagné de l’infirmier, vous accueillez Madame P, 40 ans, suivie pour une polyarthrite rhumatoïde (rhumatisme inflammatoire invalidant, évoluant par poussées et touchant toutes les articulations).

Elle est hospitalisée afin de réaliser une infiltration articulaire et d’ajuster son traitement de fond ainsi que son traitement antalgique. Vous l’accompagnez dans sa chambre avec l’infirmier, elle marche avec l’aide d’une béquille car l’appui sur sa jambe droite lui est difficile. Elle s’installe dans le fauteuil en grimaçant. Son visage est crispé.

En réalisant le recueil de données, vous apprenez que Madame P est infirmière en EHPAD. Elle vit seule avec ses deux enfants. Elle habite un appartement au troisième étage sans ascenseur.

L’infirmier réalise une évaluation de la douleur avec l’échelle visuelle analogique (EVA). Le score est de 5/10. Elle vous explique alors que depuis que le diagnostic de polyarthrite rhumatoïde a été posé il y a 9 mois, la douleur ne la quitte pas : « Malgré tous les traitements que je prends, je ne suis pas soulagée. Cette douleur permanente joue beaucoup sur mon moral. Je ne sais plus quoi faire ! Mes poignets sont raides, je n’utilise pratiquement plus ma main droite, et en plus je suis obligée d’utiliser une béquille. Je ne peux plus rien faire, je suis une handicapée ! ». Elle se tait et pleure.

 

Question n°26 – Identifiez le type de douleur présenté par Madame P (1 réponse exacte) :

A. Neuro-végétative
B. Psychogène
C. Chronique
D. Aigue
E. Spasmodique

 

Question n°27 – Quels problèmes de santé identifiez-vous chez Madame P (1 réponse exacte) :

A. Incapacité de se vêtir, perturbation de l’estime de soi, altération de la mobilité physique
B. Risque de perturbation dans l’exercice du rôle parental, altération de la mobilité physique, perturbation de l’estime de soi
C. Altération de la mobilité physique, altération du sommeil, incapacité de se vêtir
D. Risque de perturbation dans l’exercice du rôle parental, douleur à la mobilisation, risque d’atteinte à l’intégrité de la peau
E. Risque d’atteinte à l’intégrité de la peau, altération du sommeil, douleur à la mobilisation

 

Devant la douleur présentée par Madame P, le médecin du service prescrit du CODOLIPRANE® (Paracétamol, codéine).

 

Question n°28 – Indiquez votre attitude à Madame P, en tenant compte de la prescription médicale (2 réponses exactes) :

A. Donner immédiatement le CODOLIPRANE® avec un verre d’eau
B. Mobiliser ses bras et ses jambes pour la soulager
C. Réévaluer la douleur 5 minutes après la prise du CODOLIPRANE® avec l’Echelle Visuelle Analogique (EVA) avant de la lever
D. Réévaluer la douleur 30 minutes après la prise du CODOLIPRANE® avec l’ECPA
E. Réaliser un entretien de soutien relationnel

 

Question n°29 – Indiquez les actions possibles pour soulager la douleur de Madame P. en complément du traitement médicamenteux (3 réponses exactes) :

A. Une douche froide et tonique
B. Un bain tiède avec une musique douce
C. Une séance d’hypnose
D. Une séance de relaxation
E. Une heure de marche rapide pour se détendre

 

Vous encadrez une élève aide-soignante qui doit évaluer la douleur chez Madame P. Elle vous demande de lui expliquer comment évaluer avec l’EVA la douleur de Madame P.

 

Question n°30 – Parmi les réponses suivantes, indiquez celles qui sont exactes concernant l’utilisation de l’EVA chez Madame P (2 réponses exactes) :

A. L’EVA est une échelle d’autoévaluation
B. L’évaluation doit permettre d’obtenir un score entre 0 et 12
C. Un score de 2 à l’EVA est significatif d’une réelle douleur
D. L’EVA est aussi appelée EN
E. Si elle ne parvient pas à réaliser l’évaluation avec l’EVA, elle peut utiliser l’échelle Algoplus

 

Cas concret 3

C., 14 ans, arrive ce jour dans le service d’endocrinologie où vous êtes en stage. Elle est transférée des urgences.
Sur la fiche de liaison, vous apprenez que C. est en classe de troisième, qu’elle vit avec ses parents et sa sœur de 10 ans. C. a perdu plusieurs kilos ces derniers temps, bien qu’elle s’alimente plus que d’habitude. Elle a aussi pris l’habitude de boire plus car elle a souvent soif.

A la suite d’apparition de douleurs abdominales et d’une grande fatigue chez sa fille, sa mère l’amène en consultation chez le médecin généraliste qui décide de la faire hospitaliser en urgence. Le diagnostic de diabète de type 1 lui a été annoncé au service des urgences en présence de sa mère. Elle a reçu une première injection d’insuline en sous-cutanée. Depuis, elle ne parle pas, fuit le contact avec les soignants.

Quand vous accueillez C. à 17h, elle vous parle peu. Quand vous lui demandez ce qui l’inquiète, elle vous dit « ma vie est fichue, je ne pourrai plus jamais être normale » en baissant les yeux. Vous constatez qu’elle pleure. Elle porte un maillot de foot comme haut de pyjama. Vous lui demandez si elle est supportrice d’un club ou si elle joue elle- même. Elle sourit un peu et vous répond « Les deux… enfin avant. Je ne pense pas que j’aurai le droit d’aller faire les entrainements et les matchs toutes les semaines maintenant que j’ai…ce truc. Et puis, c’est fichu pour les hamburgers d’après match avec les copines. Si ça se trouve, je ne serai plus bonne à rien et ça va être difficile de suivre le traitement. C’est dommage, ma mère était si fière de mes notes au collège… ».

 

Question n°31 – Indiquez dans quelle phase se situe C., depuis l’annonce de sa maladie (1 réponse exacte) :

A. Déni
B. Colère
C. Tristesse
D. Marchandage
E. Acceptation

 

Question n°32 – Citez l’élément du texte illustrant l’argumentation de la phase choisie ci- dessus (1 réponse exacte) :

A. « Je ne pense pas que j’aurai le droit d’aller faire les entrainements et les matchs toutes les semaines maintenant »
B. Elle pleure
C. « Si ça se trouve je ne serais plus bonne rien »
D. « Maintenant que j’ai…ce truc »
E. « Ça va être difficile de suivre le traitement »

 

Question n°33 – Face à ce niveau d’acceptation de la maladie, indiquez les actions que vous allez réaliser (2 bonnes réponses) :

A. Commencer à lui faire réaliser ses glycémies capillaires pour qu’elle soit active dans son traitement
B. Faire un entretien infirmier de soutien
C. L’inciter à verbaliser ses émotions
D. Demander à l’endocrinologue de lui prescrire un anti dépresseur car vous la sentez déprimée
E. La laisser seule avec sa mère pour la réconforter

 

La mère de C. vient vous voir car l’endocrinologue lui a parlé de la nécessité d’un protocole de soins en « ALD ». Elle vous dit ne pas avoir compris ce qui a été transmis.

 

Question n°34 – Indiquez ce que vous lui direz pour répondre à son questionnement (2 bonnes réponses) :

A. ALD signifie « Allocation Longue Durée »
B. ALD signifie « Affection Longue Durée »
C. Le protocole de soin en ALD est envoyé à la CPAM
D. Le protocole de soins en ALD est mis en place pour tous les soins et traitements de C.
E. Le protocole de soins en ALD dure 3 ans maximum

 

Question n°35 – Les problèmes immédiats de santé de C. à son arrivée en endocrinologie sont (2 bonnes réponses) :

A. La perte de poids
B. Les douleurs abdominales
C. Le manque de connaissances
D. La perte d’espoir
E. Le risque de non observance

 

 


Source: Université Paris-Saclay