UE 2.3.S2 – Santé, maladie, handicap, accidents de la vie
Université Paris Descartes (75)
Juin 2017
Sujet
Questions à choix unique
Question n°1 – Laquelle de ces propositions est vraie ? De quand date la loi sur l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées ?
A. 4 mars 2001
B. 11 février 2005
C. 10 février 2009
D. 18 février 2015
E. 29 juillet 2004
Question n°2 – Laquelle de ces propositions est vraie ? Une maladie chronique est :
A. Une maladie dont l’évolution se prolonge dans le temps
B. Toujours associée à une limitation d’activité
C. La conséquence de lésions traumatiques
D. Une maladie dont on guérit
E. Toujours prévisible
Question n°3 – Laquelle de ces propositions est vraie ? L’abréviation ALD 30 correspond à :
A. L’altération, limitation, dépendance reconnue à 30%
B. L’altération de longue durée supérieure à 30 mois
C. L’affection de longue durée reconnue à 30%
D. L’affection de longue durée inscrite sur une liste de 30 affections
E. L’accident entrainent une limitation d’activité supérieure à 30 jours
Question n°4 – Laquelle de ces propositions est vraie ? Le handicap psychique résulte :
A. D’une altération des fonctions psychiques
B. De déficiences intellectuelles
C. D’un handicap mental
D. D’une souffrance foetale
E. D’un déficit de capacités cognitives
Question n°5 – Laquelle de ces propositions est vraie ? La santé se définit par :
A. Un état agréable résultant de la satisfaction des besoins du corps
B. Le silence des organes
C. Un bien-être physique
D. L’absence de maladie
E. Un état de bien-être physique, mental et social
Question n°6 – Concernant la prise en charge de la maladie chronique, laquelle des propositions est vraie ?
A. La maladie chronique est considérée administrativement comme une affection de longue durée
B. Le vécu de la maladie chronique par le patient peut être majoré par la douleur physique et mentale
C. La maladie chronique a pour principale cause les accidents de la voie publique
D. La maladie chronique a comme unique déficience une douleur physique
E. La maladie chronique a comme principale restriction à la vie sociale une non accessibilité aux soins
Questions à choix multiples
Question n°7 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Les principales missions de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) sont :
A. L’accueil et l’hébergement
B. L’accompagnement et l’information
C. L’attribution des droits
D. Le conseil pour les personnes handicapées et leurs proches
E. L’allocation personnalisée à l’autonomie (APA)
Question n°8 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? La prestation de compensation du handicap permet :
A. D’aménager le logement pour un maintien au domicile
B. D’aider les personnes handicapées à pratiquer des loisirs
C. La prise en charge du forfait hébergement chez un patient handicapé hospitalisé
D. A la personne handicapée de percevoir un salaire
E. A la personne handicapée d’obtenir une aide animalière
Question n°9 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? La classification internationale du fonctionnement (CIF) comporte comme caractéristiques :
A. La déficience
B. La limitation d’activité
C. La restriction de la participation à la vie sociale
D. La qualité de vie
E. Le bien-être
Question n°10 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? La paralysie des membres inférieurs peut être associée à une réduction d’activité comme :
A. La communication
B. Les soins corporels
C. La locomotion
D. Les aptitudes à la vie professionnelle
E. Les loisirs
Question n°11 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? La santé :
A. Consiste en l’absence de la maladie
B. Se définit par un état de bien-être physique, mental et social
C. Implique que tous les besoins fondamentaux de la personne soient satisfaits, qu’ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels
D. A toujours tenu compte du handicap
E. Se définit uniquement par état de bien-être physique
Question n°12 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Les principes énoncés dans la loi du 11 Février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées sont :
A. Le droit à la compensation
B. L’intégration scolaire et professionnelle
C. La prévention des handicaps
D. L’accessibilité
E. Le droit de vote
Question n°13 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Les composantes de la qualité de vie sont :
A. Physiques
B. Mentales
C. Sociales
D. Thérapeutiques
E. Professionnelles
Question n°14 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Les outils de mesure de la qualité de vie évaluent :
A. Les antécédents
B. La douleur
C. Le traitement
D. Les activités quotidiennes
E. La santé morale
Question n°15 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? La réinsertion vise à :
A. Aider au retour dans la société
B. Aider la personne à retrouver une vie personnelle et professionnelle et sociale acceptable pour elle-même et son environnement
C. Resocialiser par des mesures psycho éducatives
D. Prioriser le retour au sein de la famille
E. Prioriser le retour à une vie professionnelle
Question n°16 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Les paramètres à prendre en compte dans l’élaboration du projet de vie d’une personne atteinte d’un handicap sont :
A. La réadaptation professionnelle
B. Le régime alimentaire
C. La réinsertion sociale
D. La vie familiale
E. L’adaptation de l’habitat
Situation clinique n°1
Madame A. est une femme de 63 ans, très active, mariée et vivant dans une maison de plain-pied à la campagne. Elle a deux enfants et 4 petits enfants dont elle est très proche. Elle vient consulter pour des douleurs des poignets, des articulations métacarpo-phalangiennes et inter phalangiennes des mains. Ces douleurs sont apparues il y a environ 4 mois et elle a consulté son médecin traitant sans succès ; ces douleurs s’accentuent progressivement et réveillent la patiente chaque nuit. Elles s’accompagnent, à ce jour, d’une raideur articulaire nécessitant un dérouillage matinal de deux heures et s’estompent dans l’après-midi.
La patiente n’est pas fébrile et n’a pas noté d’altération de l’état général excepté une fatigue.
A l’examen clinique, le rhumatologue note un œdème des poignets et des articulations digitales douloureuses ainsi qu’une déformation articulaire.
Après divers examens biologiques et radiologiques, le diagnostic de Madame A. se révèle être une polyarthrite rhumatoïde.
Le médecin effectue une prescription médicale d’antalgique et d’anti-inflammatoire non stéroïdien.
La douleur inquiète la patiente : elle exprime son anxiété quant à l’évolution de la maladie et l’impact sur sa qualité de vie.
Cette patiente est passionnée de marche nordique et de couture ; elle ne peut plus actuellement enfiler le fil dans une aiguille ni couper du tissu. L’utilisation de ses bâtons de marche est rendue difficile, ce qui la freine dans son groupe de randonnée ; elle hésite à poursuivre cette activité.
Concernant les actes de la vie quotidienne, elle exprime une difficulté à ouvrir les bocaux, les bouteilles, à porter les charges lourdes y compris des ustensiles de cuisine. Aller au supermarché la fatigue ; de ce fait, connaissant les nouvelles technologies, elle a décidé depuis cette semaine de commander ses courses en lignes et de se faire livrer à domicile.
Par ailleurs, elle gardait ses petits-enfants de 7 et 8 ans le mercredi ; depuis 2 semaines, elle ne peut plus les prendre à son domicile, ce qui la peine énormément.
Questions à choix unique
Question n°17 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle de ces propositions est vraie ? “Femme de 63 ans” ; cet élément évoque :
A. Une déficience
B. Une limitation des activités
C. Une restriction de participation
D. Un facteur personnel
E. Une inadaptation à sa pathologie
Question n°18 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle de ces propositions est vraie ? “Ces douleurs sont apparues il y a environ 4 mois” ; cet élément évoque :
A. Une déficience
B. Une limitation des activités
C. Une restriction de participation
D. Un facteur personnel
E. Une inadaptation à sa pathologie
Question n°19 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle de ces propositions est vraie ? “Connaissant les nouvelles technologies, elle a décidé depuis cette semaine de commander ses courses en lignes et de se faire livrer à domicile” ; cet élément évoque :
A. Une déficience
B. Une limitation des activités
C. Une restriction de participation
D. Un facteur personnel
E. Une inadaptation à sa pathologie
Question n°20 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle des ces propositions est vraie ? “Elle ne peut plus les (ses petits enfants) prendre à son domicile” ; cet élément évoque :
A. Une déficience
B. Une limitation des activités
C. Une restriction de participation
D. Un facteur personnel
E. Une inadaptation à sa pathologie
Question n°21 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle de ces propositions est vraies ? “Elles (douleurs) s’accompagnent d’une raideur articulaire” ; cet élément évoque :
A. Une déficience
B. Une limitation des activités
C. Une restriction de participation
D. Un facteur personnel
E. Une inadaptation à sa pathologie
Question n°22 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle des propositions est vraie ? “Elle ne peut plus actuellement enfiler le fil dans une aiguille ni couper du tissu” ; cet élément évoque :
A. Une déficience
B. Une limitation des activités
C. Une restriction de participation
D. Un facteur personnel
E. Une inadaptation à sa pathologie
Question n°23 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle de ces propositions est vraie ? “Elle hésite à poursuivre cette activité (groupe de randonnée) ; cet élément évoque :
A. Une déficience
B. Une limitation des activités
C. Une restriction de participation
D. Un facteur personnel
E. Une inadaptation à sa pathologie
Question n°24 – Pour évaluer la douleur de Mme A, le médecin utilisera :
A. L’échelle de Norton
B. L’échelle Algoplus
C. L’échelle numérique
D. L’échelle Doloplus
E. L’indice de Barthel
Question n°25 – Pour l’élément ci-dessous extrait du texte, laquelle de ces propositions est vraie ? “La douleur inquiète la patiente” ; cet élément évoque :
A. Une composante sensori-discriminative
B. Une composante affectivo-émotionnelle
C. Une composante comportementale
D. Une composante cognitive
E. Les 4 composantes précédentes
Questions à choix multiples
Question n°26 – Lesquels de ces éléments issu du texte, démontrent le caractère évolutif et/ou chronique de la maladie dont souffre Madame A. ?
A. “Les douleurs s’accentuent progressivement et réveillent la patiente chaque nuit”
B. “Ses douleurs sont apparues il y a environ 4 mois”
C. “Cette patiente est passionnée de marche nordique et de couture”
D. “La douleur inquiète la patiente”
E. “Aller au supermarché la fatigue”
Situation clinique n°2
Monsieur D. 48 ans, est un représentant commercial, habituellement très actif, d’une entreprise de confiserie pour laquelle il effectue de nombreux déplacements en voiture. Il aime les activités manuelles extérieures et est passionné de sport notamment le football qu’il pratiquait avec le club communal. Il est droitier pour les membres supérieurs et inférieurs et vit en concubinage sans enfant dans un appartement où l’on accède par quatre marches.
Une myélite sur ischémie médullaire étendue entrainant une paraplégie d’installation brutale est à l’origine de l’hospitalisation du patient en service de neurologie pendant 33 jours. Cette paraplégie est incomplète.
Puis, il est transféré en MPR (médecine physique et de réadaptation).
A son arrivée, il présente une escarre de stade 2 de son ischion droit suite à la position assise prolongée dans un fauteuil roulant manuel inadapté à sa morphologie. Il est alors immédiatement alité pendant 9 jours pour traiter l’escarre jusqu’à cicatrisation.
Monsieur D. présente une absence presque totale de motricité pour le membre inférieur gauche et une faiblesse du côté droit. Il ne peut se déplacer qu’en fauteuil roulant.
Examen des limitations d’activités : Monsieur D. présente un équilibre parfois incertain et une faiblesse musculaire liée à l’alitement prolongé (triceps brachiaux).
Il ne peut pas se mettre debout, effectuer sa toilette entière, utiliser seul les toilettes et s’habiller complètement. Le périmètre de déplacement est limité par ses possibilités physiques et les infrastructures. Ces dernières limitent également ses possibilités de retour à domicile : marches d’entrée, passage non adapté du fauteuil roulant manuel entre les portes, lit standard ne pouvant s’abaisser.
Les transferts et le maniement du fauteuil le fatiguent vite.
Examen des restrictions de participation : Monsieur D. ne peut plus conduire sa voiture non aménagée qui est son principal outil de travail. La réalisation de tâches journalières telles que la cuisine ne peuvent être pratiquées sans adaptation du mobilier pour la hauteur des plans de travail et le passage des genoux en dessous. Il lui est impossible de réaliser certaines de ses activités extérieures, telles que les vendanges, les promenades en terrains non adaptés ou la pratique du football. De plus le maniement du fauteuil roulant manuel n’est pas totalement maitrisé en milieu urbain, lui compliquant ainsi le passage des trottoirs et donc le déplacement en ville.
De ce fait, il est pris en charge en rééducation 1h le matin et 1h l’après-midi. Voyant, ses progrès avancer lentement, le patient devient moins volontaire lors de ses séances de kinésithérapie et dit être fatigué de cette hospitalisation en MPR et des restrictions à la vie sociale que ses déficiences lui infligent.
Ses proches lui rendent visite régulièrement lors de son séjour au centre. Monsieur D. sort les week-ends à partir de J53. Il est reçu dans une maison adaptée, proche de l’hôpital facilitant au mieux ses déplacements.
Les objectifs de Monsieur D. sont, à court terme d’acquérir une indépendance fonctionnelle puis à long terme de retrouver la station debout pour remarcher afin de s’adonner aux loisirs tels que les promenades ou les activités extérieures comme les vendanges avec des amis.
Une équipe pluridisciplinaire le prend en charge afin d’optimiser son retour à domicile.
Questions Vrai / Faux
Question n°27 – Le stade 2 d’une escarre est une perte cutanée superficielle qui atteint le derme :
A. VRAI
B. FAUX
Question n°28 – Le stade 3 d’une escarre est une perte cutanée profonde incluant l’épiderme, le derme et l’hypoderme :
A. VRAI
B. FAUX
Questions à choix multiples
Question n°29 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Les mécanismes pathogéniques de l’escarre dépendent :
A. Du genre
B. Des forces de cisaillement
C. De la pression
D. Des forces de friction
E. Aucune des propositions précédentes
Question n°30 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Pour évaluer l’impact des restrictions d’activité de Monsieur D sur sa vie sociale, le médecine peut utiliser :
A. L’échelle Algoplus
B. L’indice de Berthel
C. L’échelle de Braden
D. La mesure de l’indépendance fonctionnelle (MIF)
E. Aucune des propositions précédentes
Question n°31 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Le critère de choix d’un matelas anti-escarre dépend :
A. L’échelle de Norton
B. L’échelle de Waterlow
C. De l’échelle visuelle analogique
D. De l’échelle Doloplus
E. De l’ensemble des ces éléments
Question n°32 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? La rééducation et la réadaptation fonctionnelle visent à :
A. Réduire les déficiences et les incapacités
B. Rétablir une fonction ayant subi une altération après un accident ou une maladie
C. Rétablir les droits d’une personne
D. Aider au retour dans la société
E. Aider une personne à retrouver son autonomie
Question n°33 – Concernant la compétence spécifique de la / du kinésithérapeute, lesquelles de ces propositions sont vraies ?
A. Elle / il effectue un renforcement musculaire de façon passive
B. Elle / il ré-entraine à l’amélioration de l’équilibre
C. Elle / il conseille pour l’acquisition et l’utilisation d’aides techniques et d’orthèses
D. Elle / il oriente Monsieur D vers la MDPH
E. Elle / il évolue les perturbations cognitives, comportementales et émotionelles
Question n°34 – Concernant la compétence spécifique de l’infirmier(e), lesquelles de ces propositions sont vraies ?
A. Elle / il prévient les complications de l’alitement prolongé
B. Elle / il transmet des informations fiables au médecin concernant le traitement pharmacologique
C. Elle / il prodigue uniquement des soins de confort et d’hygiène
D. Elle / il conseille pour l’acquisition et l’utilisation d’aides techniques et d’orthèses
E. Elle / il visite le domicile de Monsieur D pour prévoir l’aménagement
Question n°35 – Concernant la compétence spécifique de l’infirmier(e), lesquelles de ces propositions sont vraies ?
A. Elle / il évalue uniquement le vécu émotionnel de Monsieur D
B. Elle / il participe à la fabrication des orthèses de marche
C. Elle / il réalise une évaluation clinique des besoins de Monsieur D
D. Elle / il annonce le diagnostic et l’évolution de la prise en charge
E. Elle / il est à l’interface du patient, de la famille et du médecin
Question n°36 – Concernant la compétence spécifique de la / du psychologue, lesquelles de ces propositions sont vraies ?
A. Elle / il évalue les troubles affectifs, émotionnels et comportementaux consécutifs aux restrictions de participation à la vie sociale du patient
B. Elle / il favorise l’acceptation de ses limitations d’activité de Monsieur D
C. Elle / il visite le domicile de Monsieur D pour prévoir l’aménagement
D. Elle / il réalise et adapte des aides techniques pour l’habillage ou la toilette de Monsieur D
E. Elle / il programme la sortie de Monsieur D vers son domicile
Question n°37 – Concernant la compétence spécifique du médecin, lesquelles de ces propositions sont vraies ?
A. Elle / il visite le domicile du patient pour prévoir l’aménagement
B. Elle / il peut prescrire des antidépresseurs à Monsieur D
C. Elle / il propose des activités thérapeutiques pertinentes de mise en situation du quotidien pour la mobilisation des membres inférieurs
D. Elle / il réalise un examen clinique afin d’apprécier la régression des signes du syndrome dépressif
E. Elle / il prescrit la permission de sortie pour le week-end après concertation de l’équipe pluridisciplinaire
Question n°38 – Concernant la compétence spécifique de l’assistant(e) du service social du service de neuro-traumatologie, lesquelles de ces propositions sont vraies ?
A. Elle / il oriente le dossier de Monsieur D vers la Maison Départementale des Personnes Handicapées afin que sa situation soit expertisée
B. Elle / il aide Monsieur D à constituer un dossier afin qu’il puisse percevoir une pension d’invalidité
C. Elle / il évalue les perturbations cognitives, comportementales et émotionnelles consécutives à la paraplégie
D. Elle / il réalise et adapte des aides techniques pour l’habillage ou la toilette
E. Elle / il programme la sortie de Monsieur D vers son domicile
Question n°39 – Concernant la compétence spécifique de l’ergothérapeute, lesquelles de ces propositions sont vraies ?
A. Elle / il propose des activités thérapeutiques pertinentes de mise en situation du quotidien pour favoriser les soins d’hygiène
B. Elle / il surveille la fréquence des mictions, la quantité et un éventuel résidu post mictionnel
C. Elle / il évalue le domicile du patient afin de proposer des aménagements pour optimiser son autonomie
D. Son objectif est de favoriser l’autonomie en rééduquant les gestes de la vie quotidienne
E. Elle / il fabrique des orthèses
Question n°40 – Lesquelles de ces propositions sont vraies ? Les professionnels pouvant être l’intermédiaire entre les besoins d’adaptation de la personne et les exigences de la vie quotidienne à domicile sont :
A. Le / la kinésithérapeute
B. Le / la psychomotricien(ne)
C. L’ergothérapeute
D. L’assistant(e) du service social
E. L’ergonome
Source: Université Paris Descartes