A. Il est utilisable quel que soit le public car il est conçu par des spécialistes
B. Il est utilisable quel que soit l’intervenant car il est conçu « clé en main »
C. Il est uniquement un support de transmission de connaissances
D. Il est utilisable uniquement par des experts de la thématique
E. Il est uniquement un support qui doit être accompagné par l’intervenant

A. Dépistage du cancer du col de l’utérus
B. Utilisation de moustiquaires imprégnées
C. Limitation de la survenue des complications de la maladie
D. Interdiction du tabac dans les lieux publics
E. Traitement par aspirine des patients ayant présenté un infarctus du myocarde

A. Toute activité physique qui induit un effort intellectuel
B. Tout mouvement involontaire en lien avec une mobilisation passive
C. Tout mouvement produit par les muscles squelettiques responsables de la dépense énergétique
D. Tout mouvement visant le maintien d’une posture statique
E. Toute réaction corporelle résultant d’une stimulation

A. La tarification à l’activité s’applique à l’hôpital général
B. La tarification à l’activité s’applique aux établissements de santé psychiatrique
C. La tarification à l’activité est fixée pour un groupe homogène de malades
D. La tarification à l’activité fixe un tarif aléatoire pour un même acte
E. La tarification à l’activité dépend des revenus et ressources du patient pris en charge

A. Doit respecter le secret médical
B. Nécessite le consentement de la personne de confiance y compris lorsque le patient est en mesure de s’exprimer
C. Nécessite le consentement du conjoint du patient
D. Implique le report de chaque acte ou consultation à date fixe
E. Autorise un accès partiel au médecin

A. Son action peut être entravée sur le terrain et son pouvoir limité par le principe de souveraineté des états
B. Son rôle est exclusivement dans la surveillance et la publication de données épidémiologiques
C. Si dans le contexte de l’urgence, un vaccin doit être utilisé avant que les preuves de son innocuité chez l’homme n’aient été démontrées, l’OMS assume la responsabilité d’effets secondaires éventuels
D. Elle a un rôle décisionnaire auprès des systèmes de santé locaux, elle décide des priorités d’action de santé
E. Elle n’a aucun moyen pour accélérer les efforts de recherche

A. On distingue 4 types de prévention selon l’OMS : primaire, secondaire, tertiaire et quaternaire
B. On peut parler de prévention chez tous les sujets qu’ils soient malades ou non malades
C. La classification de la prévention selon S. Gordon est centrée sur la population générale
D. La prévention secondaire a pour but de diminuer l’incidence de la maladie
E. La prévention tertiaire a pour but de diminuer l’incidence de la maladie

A. A créé des organismes de surveillance de l’activité des chirurgiens
B. Impose aux hôpitaux leur organisation en pôles
C. Propose un développement professionnel continu (DPC) pour les professionnels médicaux uniquement
D. Donne droit aux patients de choisir le médecin de leur choix
E. Donne droit aux patients de choisir le chirurgien de leur choix

A. L’âge
B. Le sexe
C. Le niveau de diplôme
D. La motivation
E. Le lieu d’habitation

A. Des hôpitaux de statut juridique public
B. Des établissements à but lucratif
C. Des établissements de cure thermale
D. Des établissements de santé privés d’intérêt collectif (ESPIC)
E. Des maisons de santé

A. Correspond au nombre de nouveaux cas de la maladie, sur la population à risque pendant une période donnée
B. Correspond au nombre de cas de la maladie observés à un instant donné, sur la population dont sont issus ces cas
C. S’exprime en pourcentage ou en nombre de 0 à 1
D. S’exprime en personne année
E. Est un indicateur statique

A. 74
B. 74/500
C. 1,48 %
D. 14,8 %
E. 1,48 ‰

A. Il y a toujours une relation causale entre le facteur de risque et l’état de santé
B. Les déterminants de la santé peuvent être positifs (facteurs protecteurs) ou négatifs (facteurs de risque)
C. Ils sont indépendants les uns des autres
D. Les facteurs comportementaux représentent un enjeu majeur pour la prévention
E. Les facteurs intrinsèques (âge – sexe) sont ceux sur lesquels on peut agir facilement

A. Appelle les gouvernements à se mobiliser pour la promotion de la santé
B. Appelle les gouvernements nationaux à développer les soins de santé secondaires
C. Définit la promotion de la santé
D. A été signée en 1986
E. Définit les soins de santé tertiaires

A. Facteurs numériques
B. Facteurs comportementaux
C. Facteurs linguistiques
D. Facteurs environnementaux
E. Facteurs démographiques

A. Sa création remonte à la fin de la première guerre mondiale, en réponse à l’épidémie de grippe espagnole
B. Elle impose aux différents pays membres l’organisation territoriale de la santé
C. Elle est financée majoritairement par des contributions volontaires
D. Son pouvoir d’action repose sur le Règlement Sanitaire International
E. Son rôle de surveillance est essentiel dans la gestion des épidémies

A. Monter les escaliers plutôt que de prendre l’ascenseur
B. Marcher quotidiennement au moins 30 minutes
C. Faire du football
D. Eviter de prendre la voiture pour les petits déplacements
E. S’inscrire à une salle de sport

A. L’impact sanitaire d’une catastrophe naturelle est très dépendant du niveau de pauvreté du pays où elle survient
B. L’aide sanitaire doit concerner en priorité les soins aux victimes et la satisfaction des besoins vitaux des survivants (alimentation, eau potable, logement, hygiène)
C. L’aide sanitaire internationale doit nécessairement passer par le soutien au système de santé et de gouvernance local du pays concerné
D. Lorsque la catastrophe survient dans un pays pauvre, l’importance de l’aide internationale suffit généralement à compenser le manque de moyens locaux et à en limiter l’impact sanitaire
E. C’est la Haute Autorité de Santé (HAS) qui coordonne l’ensemble des organisations humanitaires susceptibles d’intervenir sur le terrain

A. Au moins 80 % consomment au moins 3.5 portions de fruit et légume par jour
B. 100 % consomment au moins un fruit et un légume par jour
C. 100 % consomment au moins 5 portions de fruits et légumes par jour
D. Au moins 55 % consomment au moins 5 portions de fruits et légumes par jour
E. Au moins 55 % des adultes consomment au moins 5 fruits et 5 légumes par jour

A. Renvoie au concept de promotion de la santé
B. Renvoie à la prévention tertiaire
C. S’applique à l’ensemble de la population (personnes saines et personnes malades)
D. S’applique uniquement aux malades
E. Recherche la maîtrise par le sujet de sa propre santé

A. A fait l’objet d’une convention cadre de l’OMS en 2003
B. Contraint tous les pays producteurs à limiter leur exportation de tabac
C. Concerne exclusivement les quelques pays ou la consommation de tabac est la plus élevée
D. Est essentiellement axée sur l’information des populations
E. Concerne tous les pays qui se sont engagés par traité, à mettre en place ce programme de lutte

A. Précautions standards
B. Port de charlotte et sur chaussures
C. Précautions Air
D. Précautions gouttelettes
E. Aucune précaution, le diagnostic n’étant pas encore confirmé

A. Elle est peu fréquente, voire rare
B. Elle est décelable au stade pré-asymptomatique
C. Le test de dépistage est acceptable pour la population
D. Il n’existe aucun traitement de la maladie dépistée
E. Le dépistage est peu coûteux par rapport au bénéfice attendu

A. Institut National de prévention et d’éducation à la santé
B. Haute autorité de santé
C. Institut nationale de veille sanitaire
D. Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires
E. Ecole des Hautes études en santé publique

A. Ils sont dispensés des vaccinations obligatoires pour tous (diphtérie, tétanos, poliomyélite)
B. Ils doivent être vaccinés contre l’hépatite B
C. La vaccination contre la grippe est recommandée
D. La vaccination contre la rougeole est contre indiquée
E. Ils doivent être vaccinés contre la grippe saisonnière

A. Un accueil réservé aux personnes présentant leur carte vitale
B. Un accueil adapté, notamment lorsque la personne est en situation de handicap ou de précarité sociale
C. Une permanence de l’accueil et de la prise en charge ou, à défaut, la prise en charge par un autre ES ou une autre structure
D. Un accueil limité des personnes non ressortissantes de l’Union Européenne
E. L’égal accès à des activités de prévention et à des soins de qualité

A. Elles sont à soumettre à l’Institut de veille sanitaire
B. Elles sont à signaler à l’Agence régionale de santé
C. Elles sont à déclarer à Santé publique France
D. Elles sont au nombre de 46
E. Elles comportent exclusivement des maladies infectieuses

A. Infection invasive à Méningocoque
B. Rubéole
C. Papillomavirus
D. Grippe saisonnière
E. Rougeole

A. Elles conduisent à la guérison
B. Elles retentissent sur la vie quotidienne
C. L’hypertension artérielle est une maladie chronique
D. Le cancer est une maladie chronique
E. Elles sont réversibles

A. Se définit par le nombre de malades divisé par la population à risque à un instant T
B. Se définit par le nombre de nouveaux cas divisé par la population générale
C. Se définit par le nombre de cas observés à un instant T divisé par la population à risque à un instant T
D. S’exprime en % ou en chiffre de 0 à 1
E. Désigne les cas récents et anciens qui sont confondus

A. La pratique d’une activité physique régulière
B. La consommation quotidienne d’un verre d’alcool
C. Une alimentation équilibrée
D. La consommation de protéines animales à chaque repas
E. Un temps de sommeil compris entre 7 et 9 heures

A. La mise en œuvre au niveau régional de la politique de santé publique
B. L’organisation de l’offre de soins
C. L’évaluation des pratiques professionnelles
D. L’organisation de la certification des établissements de santé
E. La gestion des vigilances sanitaires

A. La totalité des français dispose d’une assurance maladie complémentaire
B. Les mutuelles et assurances personnelles prennent en charge le ticket modérateur
C. La mutualité est une assurance personnelle lucrative
D. Les caisses de prévoyance sont des assurances personnelles
E. Les assurances privées sont des assurances personnelles

A. La pharmacovigilance
B. La délivrance de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) des médicaments,
C. La certification des établissements de santé
D. Le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection
E. La définition du programme national de lutte contre les infections nosocomiales

A. Le tabagisme
B. La relaxation
C. La sédentarité
D. Les rapports sexuels non protégés
E. La pratique d’un sport de compétition

A. Régime général des travailleurs salariés
B. Organismes de prévoyance collective
C. Mutualité sociale agricole
D. Régime social des indépendants
E. Régime des sociétés de personnes

A. Avoir une bonne estime de soi
B. Etre membre d’un club de sport
C. Avoir un environnement familial qui propose des règles claires
D. Avoir un environnement familial qui interdit la consommation
E. Savoir gérer son stress

A. Il s’élève à 70 % du montant de la consultation du médecin de secteur
B. Il s’élève à 50 % du montant de la consultation du médecin de secteur
C. Il s’élève à 30 % si la personne qui a consulté n’a pas respecté le parcours de soins coordonnés
D. Il s’élève à 90 % du montant de la consultation du cardiologue de secteur
E. Il est fixé par les syndicats de médecins

A. Les infections sexuellement transmissibles ont augmenté depuis 2013
B. Les infections sexuellement transmissibles sont stables depuis 2013
C. La syphilis est éradiquée en France depuis 2013
D. De nouveaux cas de séropositivité HIV sont constatés en 2019
E. Grace à la prévention, il n’y a plus de contamination HIV en France en 2019

A. La Sécurité Sociale
B. Les assurances privées
C. Les mutuelles
D. La protection civile
E. L’aide sociale