UE 2.6.S5 – Processus psychopathologiques
Université Paris Descartes (75)
Mai 2018

Sujet
Situation 1

Mme Solange, 75 ans a été atteinte au cours de sa jeunesse d’une tuberculose grave, ayant justifié un séjour en sanatorium. Elle a été guérie par la streptomycine, qui a cependant dit-elle laissé des séquelles.

Elle ne présente aucune surdité, mais elle souffre de céphalées, d’asthénie, de sueurs anormales. Elle est anxieuse, souvent paniquée, craint d’attraper froid, est toujours sur vêtue, consulte de façon surabondante des praticiens ORL.

Elle redoute de mal dormir et demande des ordonnances d’hypnotiques et d’antalgiques. La plupart des antidépresseurs qui lui ont été prescrits semblent accentuer ses sudations.

Elle mène une existence précautionneuse en compagnie de son époux, mais peut se déplacer et voyager.

Le médecin diagnostique une hypocondrie.

 

Question n°1 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les propositions suivantes, quels sont les symptômes présentés par Mme S ?

A. Anxiété
B. Humeur triste
C. Ralentissement psychomoteur
D. Plaintes somatiques
E. Préoccupation excessive pour sa santé

 

Question n°2 – Indiquez les réponses exactes. Quelles sont les caractéristiques du trouble de l’hypocondrie chez Mme S ?

A. Perturbation des interactions sociales
B. Plaintes ou symptômes physiques
C. Comportement anormal de malade
D. Préoccupation fondée sur l’interprétation erronée par Mme S du symptôme physique
E. Syndrome dissociatif

 

Question n°3 – Indiquez la réponse exacte. L’attitude thérapeutique sera systématiquement :

A. Une prescription d’antidépresseurs
B. Une prescription d’anxiolytiques
C. Une prescription d’antalgiques
D. Une prescription médicamenteuse limitée et rationnelle
E. Une prescription de neuroleptiques

 

Question n°4 – Dans la prise en charge de Mme S., quelles actions infirmières seront thérapeutiques ?

A. Rassurer Mme S. en lui disant qu’elle se « stresse inutilement »
B. Se montrer empathique
C. S’inquiéter tout particulièrement des symptômes de Mme S. et lui recommander de se présenter systématiquement aux urgences
D. Repérer les troubles anxieux ou dépressifs associés
E. Pointer les progrès de Mme S. et les interpréter comme autant de victoires personnelles

 

Question n°5 – Indiquez les réponses exactes. Les troubles, syndromes ou problèmes suivants sont classés parmi les troubles somatoformes :

A. Somatisation
B. Délire hypochondriaque
C. Troubles anxieux
D. Hypocondrie
E. Peur d’une dysmorphie corporelle

 

Question n°6 – Indiquez la réponse exacte. Parmi les propositions suivantes concernant les troubles somatoformes, quelles sont celles qui sont exactes ?

A. Le « déplacement » sur une plainte physique dans un contexte psychologiquement éprouvant est un des mécanismes supposé être à l’origine des troubles somatoformes
B. Tirer avantage de son statut de malade est un « bénéfice primaire » du symptôme
C. Certains troubles somatoformes sont dus à une simulation
D. Les troubles somatoformes peuvent coexister avec une pathologie somatique lésionnelle
E. Les troubles somatoformes surviennent fréquemment à l’occasion d’une situation de stress ou de conflit relationnel

 

Questions à réponse unique et exacte

Question n°7 – Indiquez la réponse exacte. Le signe clinique caractérisant un surdosage aux opiacés est :

A. Une mydriase
B. Une tachypnée
C. Une agitation psycho-motrice
D. Une hypertension
E. Un myosis

 

Question n°8 – Le traitement médicamenteux par vitaminothérapie dans la prise en charge du syndrome de sevrage de l’alcool comprend :

A. De la vitamine B1 PP C
B. De la vitamine K B12 PP
C. De la vitamine A B6 PP
D. De la vitamine B1 B6 PP
E. De la vitamine B1 C D

 

Question n°9 – Indiquez la réponse exacte. Les troubles phobiques appartiennent aux troubles :

A. De la personnalité
B. De l’humeur
C. Psychotiques
D. Anxieux
E. Somatoformes

 

Question n°10 – Indiquez la réponse exacte. Devant une multiplication des conduites à risques chez un adolescent, quel diagnostic devez-vous impérativement évoquer ?

A. Une bouffée délirante aigüe
B. Un état dépressif
C. Une paraphrénie
D. Une hyperactivité
E. Une « crise » d’adolescence

 

Question n°11 – Indiquez la réponse exacte. Les conduites à risque chez l’adolescent :

A. Signent toujours la présence d’un trouble psychiatrique
B. Sont pathognomoniques d’un trouble de type antisocial
C. Sont spécifiques d’un trouble psychiatrique donné
D. Sont inquiétants et doivent faire rechercher notamment une dépression
E. Sont tout à fait normaux en cette période de la vie

 

Question n°12 – Indiquez la réponse exacte. L’anorexie mentale :

A. Nécessite exclusivement un suivi psychiatrique
B. Nécessite systématiquement une nutrition par sondage naso-gastrique
C. Nécessite une évaluation uniquement sur des critères de poids
D. Nécessite généralement un suivi pluri-professionnel au long cours
E. Nécessite obligatoirement une prise en charge à l’hôpital

 

Question n°13 – Une seule des propositions ci-dessous constitue la réponse exacte. Dans l’anorexie mentale, citez la triade symptomatique des trois A :

A. Amaigrissement, asthénie, anorexie
B. Amaigrissement, anorexie, aménorrhée
C. Amaigrissement, asthénie, aménorrhée
D. Angoisse, asthénie, anorexie
E. Asthénie, anorexie, aménorrhée

 

Question n°14 – Indiquez la réponse exacte. Une expression émotionnelle non congruente au contenu de la pensée correspond à :

A. Une dépersonnalisation
B. Un délire idéo-affectif
C. Un délire paranoïaque
D. Une discordance idéo-affective
E. Un automatisme mental

 

Question n° 15 – Indiquez la réponse exacte. Les hallucinations et le délire entrent dans le cadre des symptômes :

A. Dissociatifs
B. Positifs
C. Déficitaires
D. Autistiques
E. De désorganisation

 

Question n°16 – Indiquez la réponse exacte. Par définition un délire aigu dure :

A. Moins d’une semaine
B. Moins de deux semaines
C. Moins d’un mois
D. Moins de 3 mois
E. Moins de 6 mois

 

Question n°17 – Indiquez la réponse exacte. Les psychoses non dissociatives se distinguent de la schizophrénie par :

A. Un début avant 20 ans
B. L’absence d’éléments de désorganisation psychique et affective
C. Un discours souvent hermétique
D. Une absence de critique du délire
E. L’atteinte exclusive des femmes

 

Question n°18 – Indiquez la réponse exacte. Parmi les thématiques délirantes suivantes, laquelle est classique d’un délire passionnel de revendication ?

A. Culpabilité
B. Transformation corporelle
C. Mystique
D. Préjudice
E. Messianique

 

Question n°19 – Indiquez la réponse exacte. Le délire paranoïaque :

A. S’accompagne souvent d’un discours désorganisé
B. Se manifeste uniquement par un délire à thème de jalousie
C. Cherche à convaincre pour ne pas être contredit
D. Peut survenir chez une personne schizophrène
E. Fait partie des troubles dissociatifs

 

Question n°20 – Indiquez la réponse exacte. Citer la caractéristique permettant de différencier l’hypomanie de la manie :

A. Durée plus courte
B. Moindre retentissement social et professionnel
C. Sujets plus jeunes
D. Age de début plus précoce
E. Absence d’insomnie

 

Question n°21 – Indiquez la réponse exacte. Citer un élément de surveillance de tout traitement neuroleptique :

A. Pli cutané
B. Reflexe pupillaire
C. Température
D. Bandelette urinaire
E. Numération formule sanguine

 

Questions à choix multiples

Question n°22 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les perturbations pouvant témoigner d’un syndrome démentiel ?

A. Altération de la mémoire
B. Discordance idéo-affective
C. Tachypsychie
D. Impossibilité de reconnaître ou d’identifier des objets
E. Troubles de la vigilance

 

Question n°23 – Indiquez les réponses exactes. Le syndrome confusionnel est caractérisé par :

A. Une désorientation temporo-spatiale
B. Une fluctuation des troubles dans la journée
C. Un délire systématisé
D. Une anxiété avec perplexité
E. Une cause d’origine uniquement psychiatrique

 

Question n°24 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les propositions suivantes, lesquelles correspondent aux modalités de prise en charge d’une démence due à la maladie d’Alzheimer ?

A. Prise en charge médicamenteuse uniquement
B. Prise en charge des troubles anxieux et dépressifs éventuellement associés
C. Rééducation cognitive
D. Traitement médicamenteux spécifique
E. Pas de prise en charge possible

 

Question n°25 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les catégories diagnostiques suivantes, quelles sont celles qui font parties des troubles anxieux ?

A. Les états de stress post-traumatiques
B. Les syndromes dépressifs
C; Les troubles phobiques
D. Les troubles délirants
E. Le trouble panique sans agoraphobie

 

Question n°26 – Indiquez les réponses exactes. Les signes suivants sont caractéristiques d’une phobie sociale :

A. L’anticipation anxieuse
B. L’absence de reconnaissance du caractère excessif de la situation anxiogène
C. Des conduites d’évitement
D. Les attitudes de type contra phobique
E. Une estime de soi excessive

 

Question n°27 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les critères suivants, quels sont ceux qui appartiennent aux troubles de la personnalité :

A. Une absence de souffrance psychique
B. Une stabilité des signes dans le temps
C. La difficulté de porter un diagnostic avant l’adolescence ou le début de l’âge adulte
D. Des troubles périodiques avec de longues périodes de rémission
E. Des troubles liés à un fonctionnement habituel du sujet

 

Question n°28 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les termes suivants, indiquer ceux qui désignent un trouble de la personnalité :

A. Paranoïaque
B. Post-traumatique
C. Antisociale
D. Borderline
E. Schizophrénique

 

Question n°29 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les éléments suivants, lesquels caractérisent la personnalité paranoïaque ?

A. Croyance bizarre ou pensée magique influençant le comportement
B. Propos délirants
C. Caractère soupçonneux et tendance envahissante à déformer les évènements en interprétant les actions impartiales ou amicales d’autrui comme hostiles et méprisantes
D. Tendance à surévaluer son importance avec perpétuelle référence à soi-même
E. Vie affective pauvre

 

Question n°30 – Indiquez les réponses exactes. Les signes suivants sont caractéristiques d’un état maniaque :

A. Anxiété majeure
B. Automatisme mental
C. Logorrhée
D. Hypervigilance et distractibilité
E. Insomnie constante sans fatigue

 

Question n°31 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les réponses suivantes, quelles sont celles qui témoignent d’une prise en charge optimisée d’un patient en état maniaque ?

A. Etre calme, patient et bienveillant
B. Ne pas s’opposer aux demandes inappropriées du patient
C. Se montrer ferme mais sans dureté
D. Faire preuve d’indifférence
E. Expliquer la nécessité des soins au patient

 

Question n°32 – Indiquez les réponses exactes. Parmi les propositions suivantes, indiquer les critères qui permettent de définir le concept de dépendance à un produit :

A. Préoccupation fréquente pour le produit (ou le comportement) ou l’activité qui prépare à sa consommation
B. Amélioration et performances dans les activités sociales, professionnelles, familiales du fait du comportement
C. Engagement plus intense ou plus long que prévu dans le comportement
D. Efforts répétés et infructueux pour réduire ou arrêter le produit
E. Consommation maitrisée

 

Question n°33 – Indiquez les réponses exactes. Le traitement médicamenteux de la prise en charge du sevrage alcoolique comprend :

A. De l’aspirine
B. Des benzodiazépines
C. Un rééquilibrage hydroelectrolytique
D. De la vitamine K
E. Des vitamines B1 B6 PP

 

Question n°34 – Indiquez les réponses exactes. Les traitements de substitution aux opiacés à proposer au patient dans un cadre thérapeutique sont :

A. Le sulfate de protamine
B. La buprenorphine
C. La vitamine K
D. La naloxone
E. Le chlohydrate de méthadone

 

Question n°35 – Indiquez les réponses exactes. En cas de troubles du comportement alimentaire accompagnés de vomissements, quels sont les examens importants à réaliser ?

A. Un électrocardiogramme
B. Une kaliémie
C. Un gaz du sang
D. Une Numération Formule Sanguine
E. Aucun examen en particulier

 

Question n°36 – Indiquez les réponses exactes. Dans les troubles du comportement alimentaire, les comportements compensatoires

A. Visent à limiter la prise de poids
B. Peuvent consister en une prise de médicaments laxatifs
C. Correspondent à des prises alimentaires pour compenser les vomissements
D. peuvent être responsables de complications cardiaques
E. permettent l’amélioration clinique du patient

 

Question n°37 – Indiquez les réponses exactes. Pour les patients atteints d’une pathologie psychiatrique, la réhabilitation psycho-sociale vise à :

A. Réduire le handicap psychique
B. Améliorer l’autonomie et l’insertion professionnelle par l’unique intervention de l’assistante sociale
C. Améliorer l’observance
D. Augmenter la qualité de vie
E. Regrouper les malades psychiatriques dans des logements spécifiques

 

Question n°38 – Indiquez les réponses exactes. Les missions de la psychiatrie de secteur sont :

A. La prévention primaire
B. La continuité des soins
C. Le renforcement d’un lien de dépendance à l’unité de secteur
D. L’orientation initiale des patients
E. La réhabilitation sociale

 

Question n°39 – Indiquez les réponses exactes. Les moyens de prendre conscience des attitudes et contre-attitudes dans les soins sont :

A. Résister systématiquement à la prise en compte de ses émotions
B. Une psychothérapie personnelle
C. Les échanges lors de réunions de synthèse clinique
D. Etablir un protocole de relation au patient
E. Les échanges informels entre collègues

 

Question n°40 – Indiquez les réponses exactes. Lorsqu’un patient manifeste une défiance vis à vis des soins :

A. On doit lui proposer d’emblée un traitement anxiolytique
B. On se doit de l’adresser dans un autre service
C. On essaie de s’interroger sur l’origine d’une telle défiance
D. On réfléchit en équipe à l’attitude à adopter vis à vis de ce patient
E. On établit un protocole de recadrage des patients non compliants

 

Question n°41 – Indiquez les réponses exactes. Au sujet des troubles psychotiques :

A. Ils sont caractérisés par une perturbation de l’expérience de réalité
B. Des idées de persécution peuvent être présentes
C. Il peut exister des hallucinations
D. La conscience des troubles est habituelle
E. Résulte toujours de traumatismes infantiles

 

Question n°42 – Indiquez les réponses exactes. Dans la peur d’une dysmorphie corporelle :

A. Il s’agit d’une préoccupation concernant un défaut imaginaire de l’apparence physique
B. Il y a une souffrance cliniquement significative
C. Elle est fréquente chez la personne âgée
D. Le patient peut tenter de masquer son défaut et mettre en place un certain nombre de conduites d’évitement
E. Le patient évite de se regarder dans le miroir

 

Question n°43 – Indiquez les réponses exactes. Les éléments et symptômes suivants relèvent d’une psychose hallucinatoire chronique :

A. Présence d’un automatisme mental avec syndrome d’influence
B. Début brutal à la suite d’un évènement traumatique
C. Apparition des troubles plutôt chez des femmes de moins de 35 ans
D. Hallucinations intrapsychiques ou cénesthésiques prédominantes
E. Absence totale d’anxiété

Question n°44 – Indiquez les réponses exactes. Les principaux objectifs de la mise en place d’un traitement neuroleptique chez un patient atteint d’une schizophrénie sont :

A. Amélioration des performances cognitives, sociales et professionnelles
B. Diminution des symptômes positifs
C. Traitement d’un syndrome dépressif associé
D. Traitement d’une dépendance à un toxique associé
E. Réduction des durées d’hospitalisation

 

Question n°45 – Indiquez les réponses exactes. Les trois grandes catégories de signes cliniques dans l’autisme infantile sont :

A. Des symptômes délirants
B. Une altération qualitative de la socialisation
C. Des troubles du sommeil
D. Une altération qualitative de la communication
E. Des intérêts restreints et troubles du comportement

 

Question n°46 – Indiquez les réponses exactes. Au sujet de la dépression de l’enfant :

A. Il s’agit de tableaux cliniques similaires à la dépression chez l’adulte
B. Une perspective développementale est nécessaire pour appréhender la clinique de la dépression chez l’enfant
C. Tout comme chez l’adulte, une rupture avec le comportement antérieur est retrouvé dans l’épisode dépressif de l’enfant
D. Un évènement ayant valeur de perte est souvent retrouvé comme facteur déclenchant
E. La dépression de l’enfant apparait après 6 ans

 

Question n°47 – Indiquez les réponses exactes. Le traitement de la dépression chez l’enfant :

A. Ccomprend systématiquement un traitement médicamenteux antidépresseur
B. Nécessite obligatoirement une hospitalisation
C. Privilégie les actions psychothérapeutiques et environnementales
D. Peut impliquer un travail de restauration du lien mère-enfant
E. Utilise les mêmes médicaments antidépresseurs à la même posologie que chez l’adulte

 

Question n°48 – Indiquez les réponses exactes. Concernant la dépression de l’adolescent :

A. La dépression est plus fréquente chez les adolescentes de 15 ans que chez les adolescents de 12 ans
B. Les conditions socio-économiques de l’adolescent ne sont pas liées à la survenue de la dépression
C. Des symptômes de la lignée dépressive sont relativement fréquents en population générale chez l’adolescent
D. Il est parfois difficile de distinguer une « crise identitaire adolescente » d’une dysthymie.
E. Les évènements de vie stressants sont des facteurs de risque de l’anxiété mais pas de la dépression chez l’adolescent

 

Question n°49 – Indiquez les réponses exactes. Les automutilations chez l’adolescent :

A. Correspondent à la fois à un appel à l’aide et à de l’agressivité
B. Entraine un soulagement à 100 %
C. Sont mis en acte après un laps de temps très long suite à la prise de décision
D. Lui permettent d’exercer un contrôle sur lui
E. Conduisent à des blessures pouvant mettre en jeu le pronostic vital

 

Question n°50 – Indiquez les réponses exactes. Le traitement de la dépression de l’adolescent :

A. Dépend de la sévérité du trouble
B. Nécessite un traitement médicamenteux par antidépresseur pendant au moins 12 mois
C. Recherche l’implication des parents dans les soins
D. Comporte un traitement médicamenteux antidépresseur en cas de dépression d’intensité sévère
E. Nécessite rarement l’évaluation du risque suicidaire

 


Source: Université Paris Descartes